Avantages d’un véloparc

Afin de motiver davantage la pratique du vélo de montagne chez les plus jeunes (à partir de 3 à 5 ans, et au cours de l’adolescence) et encourager la prochaine vague de cyclistes à s’intéresser au vélo de montagne, certains centres et municipalités ont commencé à réaliser des infrastructures de type véloparc.

L’État du vélo au Québec en 2015 est formel: plus de 620 000 adultes québécois pratiquent le vélo de montagne au moins une fois par année. C’est presque autant qu’en ski de fond (622 000), hockey sur glace (624 000) ou en ski alpin (734 000). Une partie de ces adultes le pratiquent depuis des années, mais une autre a été encouragée vers l’activité par l’apparition de sentiers dont le niveau technique est plus accessible, de la formation et des activités encadrées, tous des éléments qui rendent moins intimidants l’initiation et le développement des habiletés.

Évidemment, une partie de ces adultes initient leurs enfants au vélo de montagne, que ce soit par l’entremise de clubs, lors d’activités, de festivals ou de séjours dans des camps spécialisés, et c’est très bien ainsi. La pratique du vélo chez les 6-17 ans (tous types confondus) est de retour, après un creux de vague en 2010, à son niveau de 2005.

Cependant, afin de motiver davantage la pratique du vélo de montagne chez les plus jeunes (à partir de 3 à 5 ans, et au cours de l’adolescence) et encourager la prochaine vague de cyclistes à s’intéresser au vélo de montagne, certains centres et municipalités ont commencé à réaliser des infrastructures de type véloparc (similaire aux parcs de planche à roulettes, c’est-à-dire qu’ils proposent des défis adaptés et pensés en fonction de faire évoluer les habiletés cyclistes).

 

Exemples récents

×